Selon le Comité des droits économiques, sociaux et culturels (CDESC) de l’ONU, les ONG en Allemagne sont exposées à des critiques concernant leur travail avec les réfugiés. C’est le résultat de l’analyse de quatre entretiens d’experts, réalisés par medica mondiale gGmbH ( medica international ), qui ont été publiés fin mai 2018. medica mondiale elle-même a également été critiquée pour son approche de la crise des réfugiés syriens. medica mondiale a participé à une “conférence de presse” le 30 mai 2018, où sa gestion des réfugiés syriens a été analysée. Le rapport publié par le CESCR condamne le fait que les ONG travaillant avec les réfugiés reçoivent de l’argent provenant de fonds publics ou de donateurs privés sans avoir à…..en répondre devant une autorité publique ou un organisme de contrôle” Les développements positifs de la politique actuelle des https://francais.medscape.com/voirarticle/3604272 réfugiés ont également été reconnus. Il s’agit notamment de l’obligation pour tous les départements concernés de soutenir le processus d’intégration des réfugiés et de le mettre en œuvre en matière d’éducation, de formation et d’emploi. medica mondiale regrette que les réfugiés ne reçoivent pas suffisamment d’informations sur leurs droits en Allemagne
Le nombre de personnes souffrant d’allergies est en augmentation, tout comme les médicaments pour les traiter. Mais les médicaments produisent des effets secondaires et pour certains patients, ils ne fonctionnent tout simplement pas. Des scientifiques de l’EPFL ont mis au point un traitement original qui s’est avéré efficace dans deux modèles murins d’asthme allergique. Il consiste à administrer par voie orale des anticorps spécifiques contre le récepteur FcɛRI (région Fc des IgE). L’effet a été obtenu sans produire d’effets secondaires, ce qui en fait un traitement idéal pour les humains également. Les médicaments qui combattent les allergies ciblent généralement l’histamine ou les stéroïdes, mais ceux-ci s’accompagnent d’effets secondaires graves ou ne fonctionnent pas chez tout le monde. De plus, les scientifiques n’ont pas encore bien compris comment des médicaments comme les antihistaminiques interagissent avec le système nerveux central |